supported by 5 fans who also own “Torn From the Womb (Autopsy cover)”
PSA: if there was an album you heard a couple years ago and thought it was ok, listen to it again and you might love it.
That's what happened to me with this album. I cannot fathom why it didn't stick with me back then. Same thing happened with Decoherence's Unitarity for that matter. Matten
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J'imaginais Solitude and Suicide comme l'album de la dissidence — avec un black metal ni totalement dépressif, ni symphonique, ni païen : il était un peu à part — mais il jouait en réalité le rôle d'album de transition. Dans Pandemic Transgression, Funeral Fornication met encore plus l'accent sur les synthés et entre de plain-pied dans le black metal symphonique. Le vitriol saturé existe encore part endroits mais ce sont les atmosphères et les mélodies qui emportent la bataille. Plus accessible. Jordan Vauvert
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On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert